samedi 30 novembre 2013

La tension monte en mer de Chine méridionale

Sankaku/Diaoyu : Washington conseille aux avions de ligne de signaler leur présence
Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 30.11.2013 à 07h58 • Mis à jour le 30.11.2013 à 09h04
Les Etats-Unis ont recommandé vendredi aux compagnies aériennes américaines de signaler au préalable aux autorités chinoises leurs plans de vol en mer deChine orientale. « Le gouvernement américain attend des compagnies aériennes américaines opérant à l'étranger qu'elles se conforment aux avis émis par des pays tiers », a déclaré le département d'Etat. Mercredi, déjà, Jen Psaki, porte-parole du département, avait déclaré que les compagnies américaines avaient reçu pour recommandation de prendre des mesures pour survoler en toute sécurité la mer de Chine orientale.
La directive américaine fait suite à la montée des tensions dans cette mer au-dessus de laquelle où Pékin a instauré unilatéralement la semaine dernière une « zone aérienne d'identification » (ZAI), en demandant à tout appareil étranger traversant le secteur de se signaler aux autorités chinoises.
La zone en question couvre les îlots inhabités au cœur du contentieux territorial entre la Chine et le Japon, appelés Senkaku par Tokyo et Diaoyu par Pékin. LeJapon administre ces îlots, situés à environ 150 km des îles japonaises Yaeyama, mais Pékin conteste qu'ils soient japonais.

 En vertu des nouvelles règles fixées par Pékin, tout appareil étranger doit signalerson plan de vol aux autorités chinoises, rester en contact radio et répondrerapidement aux demandes d'identification, ou encore présenter des marquages clairs de nationalité et d'immatriculation.
Les deux principales compagnies aériennes nippones, ANA et Japan Airlines, ne s'identifient plus auprès des autorités chinoises depuis mercredi, lorsque leurs appareils traversent la zone.
Jeudi et vendredi, la Chine a dépêché plusieurs chasseurs et un avion de détection dans la ZAI qu'il a instaurée unilatéralement en mer de Chine orientale. Les chasseurs ont décollé vendredi afin de mener une « surveillance efficace », a déclaré le porte-parole de l'armée de l'air chinoise, Shen Jinke. La patrouille chinoise a identifié deux avions de surveillance américains et dix appareils japonais dont un avion de combat F-15, a précisé M. Shen. Sa mission consistait à surveiller les avions étrangers dans la zone « durant tout leur déplacement, en les identifiant rapidement ».
Le Japon a pour sa part fait voler dix avions militaires, y compris des chasseurs F-15, dans cette zone, où Washington avait envoyé mardi deux bombardiers B-52 non armés en signe de soutien à son allié nippon. Ces appareils n'ont pas envoyé de signalement préalable à Pékin lorsqu'ils ont pénétré dans la « zone d'identification aérienne ». La Corée du Sud y a également fait voler des avions.

Source : Le Monde.fr, le 30 nov 2013

mercredi 27 novembre 2013

Les avions chinois surveillent les avions américains dans l'espace aérien chinois

Pékin a « surveillé » le vol des bombardiers américains dans sa zone aérienne
Le Monde.fr avec AFP | 27.11.2013 à 06h44 • Mis à jour le 27.11.2013 à 09h58
Même si Washington ne l'a pas dit, en faisant décoller deux de leurs B-52 les Etats-Unis ont probablement voulu faire passer le message implicite qu'ils n'avaient pas l'intention de céder du terrain à Pékin, dans une région Asie-Pacifique où ils entendent peser davantage.
« L'armée chinoise a surveillé dans son intégralité le processus [de vol], a procédé rapidement à l'identification [des appareils] et a établi de quelle sorte d'avions américains il s'agissait », a assuré le ministère de la défense chinois.« La Chine a la capacité d'exercer un contrôle efficace de son espace aérien », a-t-il ajouté.
Ce texte, première réponse officielle chinoise au vol des bombardiers américains, se garde bien de reprocher quoi que ce soit à Washington. Tout en tentant desauver les apparences pour la Chine.
Samedi, Pékin a décrété unilatéralement une « zone aérienne d'identification » au-dessus d'une grande partie de la mer de Chine orientale, zone qui englobe les îles Senkaku, administrées par le Japon mais revendiquées par la Chine sous le nom de Diaoyu.
La Maison Blanche a regretté une annonce qualifiée d'« incendiaire », tandis que le ton est monté entre Tokyo et Pékin, chacun convoquant l'ambassadeur de l'autre. En réponse, le Japon envisagerait d'étendre sa propre zone aérienne d'identification, et les deux grandes compagnies aériennes japonaises ont annoncé mercredi ne plus communiquer leurs plans de vol aux autorités chinoises. L'Australie a également convoqué l'ambassadeur de Chine pourprotester contre cette nouvelle mesure de Pékin, dont les ambitions maritimes inquiètent la région Asie-Pacifique. L'Organisation des Nations unies (ONU) a de son côté suggéré à la Chine et au Japon de négocier pour trouver une solution à leurs différends territoriaux.
PLANS DE VOL
C'est dans ce contexte tendu que deux bombardiers américains B-52, après avoirdécollé de l'île de Guam, dans le Pacifique, ont pénétré lundi dans la zone aérienne chinoise. Les avions, qui n'embarquaient aucune arme, ont effectué leur mission sans prévenir les autorités chinoises. Ils n'ont pas rencontré d'avions chinois.
Selon les nouvelles règles annoncées par Pékin, les avions doivent déposer leur plan de vol, faire connaître leur nationalité et rester en contact radio avec les autorités chinoises le temps qu'ils passent dans la zone aérienne. En cas de non-respect de ces règles, Pékin a annoncé qu'il pourrait décider de prendre des« mesures de défense d'urgence ».
Depuis plus d'un an, les relations sino-japonaises sont au plus bas du fait du rachat par l'Etat nippon de trois des îles Senkaku à leur propriétaire privé japonais en septembre 2012, une décision qui a provoqué la fureur de Pékin. La Chine envoie depuis régulièrement des navires dans les eaux territoriales de cet archipel, tout comme le Japon y fait patrouiller ses garde-côtes, un chassé-croisé qui faitcraindre un éventuel incident armé.
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Source : Le Monde.fr, le 17 nov 2013

lundi 18 novembre 2013

La Chine sacrifie la santé pour la croissance

La Chine, championne du monde des cancers du poumon

En trente ans, le taux de mortalité du cancer du poumon a bondi de 465%. En 2025, 1 million de personnes devraient être atteintes de cette maladie. Pollution et tabagisme sont les deux causes principales.
La croissance rapide en Chine a certes permis à des centaines de milliers de Chinois d'améliorer leur niveau de vie, mais elle a aussi entraîné une incroyable pollution. Conséquence directe : les experts s'attendent à ce qu'en 2025, soit dans moins de douze ans, on dénombre 1 million de malades atteints d'un cancer des poumons dans le pays le plus peuplé au monde.
Actuellement, le cancer du poumon est la forme de cancer avec le taux de mortalité le plus élevé chez les hommes, tandis que c'est le cancer du sein et celui des poumons (à égalité) pour les femmes, selon la communication de Sun Yan, un académicien de l'Institut du cancer basé à Pékin, lors du sixième Sommet du cancer du poumon qui s'est tenu samedi 16 novembre à Pékin.
De plus en plus de malades
Au cours des trente dernières années, les taux de mortalité du cancer du poumon et du cancer du sein ont augmenté respectivement de 465% et 96%, la progression la plus rapide parmi les cancers liés au mode de vie, souligne le Beijing Times.
Entre 2000 et 2005, le nombre de patients atteints du cancer du poumon a augmenté de 120.000 dans le pays, selon Zhao Ping, vice-président de la Fondation du cancer en Chine.
Ainsi, à un tel rythme, il y aura près de 1 million de patients atteints de cancer du poumon en Chine en 2025, d'après Zhi Xiuyi , directeur du centre de traitement de la Capital Medical University, comme le rapportait le Global Times dimanche. Un avis confirmé par d'autres intervenants au Sommet.
Lutter contre le tabagisme et la pollution
L'Empire du Milieu est déjà la nation qui compte le plus de malades de ce type de cancer, en raison de la pollution et du tabagisme.
Par conséquent, la Chine doit encore fournir des efforts rigoureux en matière de lutte antitabac. Dans certaines régions du pays, ce produit est considéré comme un segment commercial clé et certains gouvernements locaux considèrent le tabagisme comme un problème personnel plutôt que d'une question d'intérêt public.
1,7 milliards de cigarettes sont fabriquées en Chine chaque année, soit 2,5 fois plus qu'aux États-Unis, selon le Beijing Times. Il y a plus de 300 millions de fumeurs dans le pays, et 740 millions de personnes seraient victimes de tabagisme passif.
La pollution de l'air de plus en plus grave est une autre cause de cancer du poumon, comme l'ont expliqué des experts. Les brouillards sont de plus en plus fréquents et les habitants sont fréquemment confrontés à des pics de pollution nuisibles.
Un cancer du poumon a même été diagnostiqué chez une patiente de huit ans à peine.

Source : La Tribune.fr, le 18 nov 2013

samedi 16 novembre 2013

Xi Jinping relance les réformes de la Chine

Chine : avec la fin de la rééducation par le travail, "Xi Jinping démontre son autorité"
Pékin a publié, quelques jours après la fin d'une réunion politique importante, le programme de la nouvelle équipe dirigeante pour les années à venir. Le régime a notamment annoncé la fin du système décrié de la rééducation par le travail mis en place par Mao à la fin des années 1950 et l'assouplissement de la politique de contrôle des naissances. Pour Nicholas Bequelin, chercheur à Human Rights Watch à Hongkong et spécialiste du système judiciaire chinois, Xi Jinping consolide son pouvoir tout en menant des réformes qui doivent permettre au Parti communiste de s'adapter aux temps nouveaux et à la pression croissante des revendications de la population.
Pourquoi Xi Jinping a-t-il décidé d'abolir le système de la rééducation par le travail (laojiao) ?
Nicholas Bequelin : cela avait été annoncé dès janvier à la première réunion du comité politique et légal. Meng Jianzhu, le responsable de la sécurité, l'avait alors dit. Ensuite, nous avons appris de la part de personnes qui sortaient du "laojiao" que les autorités avaient arrêté de faire entrer de nouveau détenus. Nous étions assez confiants sur le fait que le système allait disparaître. L'annonce intervient au moment de la publication du document programmatique à la suite du troisième plénum.
Tout était prêt pour l'abolition. Personne ne le défendait à part l'appareil de sécurité. La communauté juridique, les juges, les procureurs, les avocats et l'opinion publique, tout le monde était pour sa suppression. Il n'y avait qu'à appuyer sur le bouton. Mais jusqu'à présent, la Sécurité publique (police), dont c'était le joujou favori, bloquait cette réforme. Ce n'est donc qu'après que Xi Jinping eut réussi à sortir le chef de l'appareil de sécurité du bureau politique que cette réforme est devenue faisable.
Cela sert plusieurs buts. Cela remet à sa place l'appareil de sécurité, cela enlève un système qui était un obstacle aux réformes du système pénal. Cela n'a en effet aucun sens de consolider un système s'il en existe un parallèle et complètement arbitraire, sans aucune procédure. Dans le même temps, il démontre son autorité, c'est un geste symbolique, cela prouve sa capacité de faire des réformes et de s'attaquer à des groupes d'intérêts qui les bloquaient.
Ces annonces interviennent après une vague de répression dénoncée par les associations des droits de l'homme. Dans l'annonce, il est question de la protection de ces derniers. Xi Jinping a-t-il la volonté d'améliorer la situation dans ce domaine ?
Les réformes annoncées ne sont pas des réformes politiques, elles visent à consolider l'autorité du parti en s'attaquant aux défauts du système judiciaire les plus visibles et les plus gênants, la rééducation par le travail, les confessions forcées, les procès iniques, etc. Le parti identifie l'érosion de la confiance dans les institutions légales comme un problème social majeur. Il doit s'attaquer au problème de la justice pénale et du système juridique en général, car il est aussi question des pétitionnaires et de la Constitution. Il ne faut pas cependant croirequ'il s'agit de premiers pas vers une réforme politique. Il n'y a aucune indication sur le fait qu'il y aura une plus grande tolérance envers les dissidents et les critiques. Au contraire, il semble que Xi Jinping soit plus intransigeant, en particulier parce qu'il essaie de pousser ces réformes. Il est encore moins disposé à tolérer des trouble-fêtes.
En abolissant la rééducation par le travail et en assouplissant la politique de l'enfant unique, Xi Jinping cherche-t-il à s'adresser aux demandes des classes moyennes urbaines ?
Sur toutes ces questions, il y avait un très fort consensus au sein des institutions. Quand Xi Jinping demande conseil à la technocratie chinoise, c'est la réponse qui lui est faite : il faut abolir la rééducation par le travail et assouplir le système de contrôle des naissances. Sur ce dernier point, ce n'est pas une avancée des droits, c'est une permission. Le système reste en place, mais on donne à une catégorie de personnes le droit d'avoir un deuxième enfant. C'est discrétionnaire.
Le système de la rééducation par le travail était totalement obsolète, associé à la campagne contre les droitiers à la fin des années 1950 et aux excès des années Mao. En plus, l'utilisation par Bo Xilai (homme politique rival de Xi Jinping déchu et condamné à la prison à vie) à Chongqing de ce système a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase.
C'est aussi une volonté du Parti communiste de dépasser des problèmes qui ont été identifiés dans la société. Le parti sait qu'il doit s'adapter s'il veut survivre, confronté à une situation de plus grande volatilité et instabilité sociales. C'est s'adapter pour survivre. On n'est pas dans un mode de réformes politiques comme en 1986-1987.
Est-ce que cela montre que Xi Jinping commence à imposer sa marque ?
La transition politique avait été assez sanglante. Il a passé un an à s'attaquer aux faiblesses du système politique qui avaient été identifiées avant cette transition : manque de charisme et de légitimité des dirigeants, groupes d'intérêts, dont les entreprises publiques, s'opposant à des réformes, corruption... Il a conforté progressivement son pouvoir et maintenant il présente son programme pour les dix ans. Les dix dernières années ont été perdues, la pression de la société monte et il faut une alternative aux réformes politiques, soit c'est l'économie ou le droit. Là, c'est plutôt le choix de l'économie. Il montre également que le parti doit s'adapter, sinon il est en péril. C'est un parti léniniste-darwiniste.
Source : Le Monde.fr, le 16 nov 2013

jeudi 14 novembre 2013

Pourquoi TFI triche encore ?

Je vous propose d'écouter un extrait d'une émission de Canal Plus (issu d'un article du Monde.fr) qui montre un parfait exemple de manipulation . Il s'agit de la visite du Pt Hollande à Oyonnax pour une commémoration de la résistance (SGM).En effet, la rédaction de TFI a décalé de 4 secondes des sons de sifflets par rapport aux images. Du coup, l'arrivée de Hollande, plutôt applaudie, se transforme en une arrivée sifflée.
     Pourquoi une telle modification ?

Lien : http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2013/11/13/hollande-hue-le-11-novembre-tf1-admet-avoir-manipule-le-son_3513113_3236.html#xtor=EPR-32280229-[NL_Titresdujour]-20131114-[titres]

     TFI n'en n'est pas à sa première "erreur". L'exemple le plus emblématique est une interview truquée de Patrick Poivre d'Arvor de Fidel Castro en 1991.


Lien : https://www.youtube.com/watch?v=nGZFnNMBCCo

mardi 12 novembre 2013

Devoir du 16 novembre

       Comme lors du 1er DS,
 il s'agira d'une dissertation avec croquis.
        Je trouve en effet que le croquis est encore un secteur perfectible (en particulier au niveau de la démonstration : couleurs, vision d'ensemble...).

vendredi 8 novembre 2013

AREVA au Brésil

Nucléaire : Areva remporte un contrat de 1,25 milliard d'euros au Brésil
Pour le groupe nucléaire français, il s'agissait d'une commande dont la finalisation était en cours depuis plus de deux ans.
latribune.fr | 08/11/2013, 7:14 - 433 mots
Le groupe nucléaire français va terminer la construction d'un réacteur inachevé. Un contrat qu'il finalisait depuis plus de deux ans. Le réacteur devrait être mis en service en 2018.
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Décidément, le Brésil réussit en ce moment aux grands groupes français. Après Total qui a décroché fin octobre, au sein d'un consortium, un contrat d'exploitation du plus grand gisement pétrolier du Brésil, Areva a annoncé ce jeudi avoir remporté un contrat de 1,25 milliard d'euros pour terminer la construction du réacteur inachevé Angra 3.
Pour le groupe nucléaire français, il s'agissait d'une commande dont la finalisation était en cours depuis plus de deux ans. Le contrat a été signé mercredi avec l'électricien brésilien Eletrobras Eletronuclear.
Mise en service "mi-2018"
Le directeur commercial du groupe, Tarik Choho, a estimé "à environ 50%" le niveau d'achèvement du réacteur Konvoi de technologie Siemens de 1.350 mégawatts, déjà en place ainsi que plusieurs autres composants majeurs.
Eletrobras restera maître d'oeuvre. De son côté, Areva va notamment fournir le centre de pilotage de la centrale, (qui représente une part "substantielle" du contrat), ainsi que le contrôle-commande et des travaux d'ingénierie. "Le design d'Angra 3 intègre les dernières améliorations apportées aux réacteurs actuellement en exploitation, notamment en termes de sûreté, et répond aux directives de l'AIEA et aux normes post-Fukushima de l'autorité de sûreté nucléaire brésilienne", a affirmé Areva dans un communiqué. 
A noter aussi que le nouveau calendrier de mise en service est de "mi-2018", selon Tarik Choho.
Une construction lancée il y a 40 ans
Lancée il y a près de 40 ans en pleine dictature militaire, la construction de ce réacteur avait été interrompue en 1985, avant d'être relancée en 2010. Et dès octobre 2011, le patron d'Areva Luc Oursel avait jugé "très probable" le fait que Areva puisse à terme remporter ce contrat.
Le Brésil a des projets de développement dans le nucléaire
Pour suivre la hausse de sa consommation électrique, le Brésil, qui développe de gigantesques barrages, a également des projets de développement dans le nucléaire, qui porte sur 4 à 5 gigawatts de réacteurs nucléaires sur deux sites.
"C'est un programme crédible qui intéresse tous les fournisseurs, donc je ne pense pas qu'Areva sera le seul intéressé", a commenté Tarik Choho. En 2011, Areva avait déjà remporté un contrat du même type aux Etats-Unis pour terminer la centrale nucléaire de Bellefonte dans l'Alabama.
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Source : La Tribune.fr, le 8 nov 2013

lundi 4 novembre 2013

Correctif

Contrairement à ce que j'ai écrit, le programme d'aides scolaires développé sous Lula au Brésil est le "bolsa familia"
Complément :
Programme Bolsa Familia
Bolsa Familia est un programme social innovateur lancé par le gouvernement brésilien en 2003.
Programme Bolsa Familia
Connaissant un développement rapide, ce programme bénéficie actuellement à plus de 11 millions de ménages pauvres (représentant une population estimée à 47 millions de personnes), leur offrant un filet de sécurité par le biais de transferts directs. Les familles qui remplissent les critères requis reçoivent un soutien au revenu familial et en contrepartie, elles doivent respecter des conditions préalablement définies en matière de développement humain. Par exemple, elles s’engagent à scolariser leurs enfants et à se soumettre à différents types de contrôles médicaux. Le programme a contribué sensiblement à l’amélioration des conditions de vie de la population brésilienne à faible revenu, ainsi qu’à la réduction du taux de pauvreté et des inégalités.