vendredi 27 décembre 2013

Info média : samedi 29 émission "dessous des cartes"

Thème : l'image satellite au service de la géopolitique. Horaire : 19h30.
http://ddc.arte.tv
ci-dessous revue de presse

jeudi 26 décembre 2013

Revue de presse fin décembre 2013

En cette fin d'année, voici qques revues spécialisées qui peuvent être utiles :
Revue Carto n°20 avec un dossier sur la mondialisation et des rubriques par continent.
Atlas Autrement 2014  avec un dossier sur la France.
Atlas du monde de demain. Hors-série du Monde. Il y a aussi un autre HS sur les villes.
Atlas géostratégique 2014 de la revue Diplomatie très riche en stat et cartes.



mardi 24 décembre 2013

Si la crise revenait de l'Ecosse ?

Zone euro : et si la crise revenait... par l'Écosse ?
ZONE EURO

Des militants indépendantistes écossais faisant la promotion du "Yes", le 21 septembre 2013./ Reuters
Romaric Godin  |  23/12/2013, 15:10  -  501  motsLe 18 septembre 2014, les électeurs écossais auront à faire un choix historique : demeurer dans le Royaume-Uni ou dissoudre l'acte d'Union de 1701 et faire de l'Écosse un pays indépendant. Mais quelles conséquences pour l'Europe ?
SUR LE MÊME SUJET
L'indépendance semble peu probable. Chez Ladbrokes, le plus grand bookmaker du monde, le « non » à l'indépendance est donné à un contre six ! Et dans les derniers sondages, le rejet d'un État écossais dispose d'une large avance de plus de vingt points.
Mais si les choses évoluaient ?
Dans un référendum, les dernières semaines de campagne sont parfois déterminantes. La part des indécis est encore forte, elle est proche de 20 % de l'électorat et, en 2011, le Scottish National Party (SNP), le seul parti important de l'ancien royaume à soutenir la cause de l'indépendance, avait glané près de la moitié des suffrages.
D'autant que, sur cette terre qui n'a jamais été favorable aux conservateurs, le discours très dur de David Cameron et la montée du parti eurosceptique et anti-immigration UKIP ne plaisent guère. Une percée de ce dernier lors des élections européennes de mai pourrait convaincre une partie de l'électorat travailliste écossais qu'ils n'ont décidément rien de commun avec les Anglais.
Une Écosse dans l'UE ?
Si l'Écosse dit oui à son indépendance, des négociations difficiles s'engageraient sur le partage de la dette et sur le maintien ou non d'une union monétaire. Durant ce processus, la confiance dans la dette britannique, dans son économie et dans la livre sera forcément plus faible. La croissance - qui reprend avec plus de vigueur que sur le continent fin 2013 - pourrait aussi être affaiblie.
Mais le plus grand défi concernera l'Union européenne. L'Écosse est une terre pro-européenne. En cas de « oui » le 18 septembre, elle pourrait demander son adhésion à l'UE en tant qu'ancienne partie d'un État membre.
Un chemin à suivre pour l'indépendantisme espagnol ?
Comment l'UE pourrait-elle refuser d'intégrer l'Ecosse alors qu'elle négocie l'adhésion de la Serbie ? Sauf que, en Europe, les dents grinceraient. En Espagne surtout, où le gouvernement catalan a promis également de tenir un référendum et pour qui un « oui » écossais serait un signal fort. Sauf si, évidemment, l'UE se montre très dure avec l'Écosse... Madrid plaidera la fermeté face à Edimbourg. D'autant que dans une Espagne en convalescence, la question de la dette est bien plus délicate qu'au Royaume-Uni.
Logiquement, un succès de l'indépendance écossaise ferait douter les investisseurs sur l'Espagne et les taux du royaume ibérique remonteraient. Mais dans ce cas, inévitablement, tous les taux des pays périphériques seraient sous pression. Car, si la Catalogne quittait l'Espagne comme l'Écosse le Royaume-Uni, la question de son maintien dans la zone euro se poserait.
Cet automne 2014 sera crucial pour le Portugal et la Grèce dont les programmes d'aide viendront à échéance en juillet. Lisbonne tentera de revenir sur le marché, Athènes de négocier un plan le plus léger possible. Un regain de tension sur les marchés replongerait ces pays dans la logique austérité-récession. La crise de l'euro sera alors relancée.
Source : la Tribune.fr, le 24 déc 2013
A LIRE SUR LA TRIBUNE
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vendredi 20 décembre 2013

Dessous des cartes sur SINGAPOUR

Le prochain "dessous des cartes", samedi 21 à 19h30, sera consacrée à SINGAPOUR.

Info par mail

Bonjour, ceux qui n'ont pas reçu de mails de ma part, doivent m'envoyer un mail pour avoir toutes les infos pour les vacances.

samedi 14 décembre 2013

INFO MEDIA : ce soir sur Arte, 19H30 "dessous des cartes" sur l'Europe

Thème de l'émission "Union européenne, frontières et migrants". Donc à ne pas manquer ou bien amener lundi un clé usb pour copie.

vendredi 13 décembre 2013

La Chine renforce ses liens avec l'Europe

La Chine renforce sa position en Europe

12 décembre
Une rencontre a eu lieu fin novembre entre le premier ministre chinois, Li Keqiang, et ses homologues de seize pays d’Europe centrale. Selon le rapport du [Center for Eastern Studies], la Chine entend ainsi densifier ses liens avec ces pays. Il s’agit donc de signer des contrats de coopération, et de fluidifier le commerce entre les deux régions.

Le 26 novembre s’est tenu le sommet Chine / Europe Centrale et orientale, auquel ont pris part la Pologne, la République Tchèque, la Slovaquie, la Hongrie, la Lituanie, l’Estonie, la Slovénie, la Croatie, l’Albanie, la Bosnie-Herzégovine, le Monténégro, la Macédoine, la Lettonie, la Roumanie, et la Bulgarie. La Chine a exposé un large panel de solutions permettant de faciliter la coopération. Elle a, entre autres, proposé une facilité de crédit de 10 milliards de dollars aux entreprises de la région, de nombreuses coopérations ont également étés signées, ainsi que des partenariats dans l’éducation et la culture. Les industriels étaient également de la partie, de nombreux contrats ont étés conclus, notamment la modernisation de voies ferrées entre Budapest et Belgrade, la construction d’une centrale hydro-électrique ou encore l’agrandissement d’une centrale nucléaire, les deux en Roumanie.
La Chine, qui commerce à hauteur de 52 milliards de dollars avec la région, souhaite développer ce marché qui ne représente que 10 % du commerce avec l’Europe. Il y a un fort potentiel de développement dans cette région. Certains pays semblent vouloir se positionner comme des partenaires stratégiques de la Chine. L’Empire du milieu a d’ailleurs créé en septembre 2012 le Secrétariat pour la coopération avec l’Europe centrale et orientale.
Cette intensification des contacts politiques pose problème à l’Union européenne et met sa cohésion à l’épreuve. En effet, celle-ci semble mise à l’épreuve par Pékin, si bien que la Commission européenne s’est dite inquiète de la signature de certains accords, qui rendraient difficile son intervention en cas de litige avec la Chine. 

Pour voir la source et aller plus loin : http://www.affaires-strategiques.info/spip.php?article9011

lundi 9 décembre 2013

Reprise des cours d'HGG, demain à 14h.

Suite et fin de l'étude de l'Asie centrale avec plusieurs ex (Ouzbékistan, Xinjiang chinois)
Début de l'étude des enjeux maritimes (important car sujet possible).

vendredi 6 décembre 2013

Le marché automobile chinois continue son incroyable croissance

Alors que Renault annonce sa future usine, le marché chinois est en plein boom

Le Renault Koleos produit en Corée est aujourd'hui exporté vers la Chine
Alain-Gabriel Verdevoye  |  05/12/2013, 17:46  -  819  motsLe premier marché mondial a encore progressé de 13,5% sur dix mois. Il est dix fois supérieur à celui de la France. Chaque mois, de nouvelles usines ouvrent !
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Bas du formulaire
Après le feu vert donné par Pékin à Renault, tous les constructeurs mondiaux seront désormais présents industriellement en Chine, le premier marché automobile mondial. La co-entreprise du groupe tricolore avec le groupe local Dongfeng - également partenaire de Nissan et de PSA  - doit investir 7,76 milliards de yuans (930 millions d'euros) pour produire 150.000 véhicules par an. Il est vrai que, si l'Europe est en pleine marasme, les chiffres du marché chinois font rêver.
Un énorme marché, dix fois supérieur à celui de la France
Les ventes de véhicules neufs y ont encore augmenté de 20,3 % en octobre et de 13,5 % sur dix mois (par rapport à la même période de 2012) à 17,8 millions d'unités, selon les chiffres de la CAAM (Association chinoise des constructeurs automobiles). Sur  ce total, 14,5 millions étaient des voitures particulières.
Le gâteau local se révèle donc dix fois plus gros que le marché français. Il est même supérieur d'un tiers au marché de l'Union européenne ! Si les ventes sont en plein boom après un début d'année moins porteur, la production suit. Les usines automobiles chinoises ont fabriqué 13,6% de véhicules supplémentaires, sur la période du 1er janvier au 31 octobre 2013, à près de 18 millions d'exemplaires.
Investissements capacitaires à rythme soutenu
Un véritable eldorado, où les constructeurs investissent dans toujours plus de capacités de production. Le groupe Volkswagen vient ainsi d'ouvrir en l'espace d'un mois deux nouveaux sites de production, ajoutant un potentiel complémentaire de 600.000 unités.  Il en détient seize désormais.  "Nous allons investir 9,8 milliards d'euros entre 2013 et 2015 en Chine ", annonçait le consortium allemand en avril dernier, au salon de Shanghai.
PSA a inauguré quant à lui fin septembre le site de Shenzhen avec un deuxième partenaire (Changan), dédié à sa ligne "DS", d'un potentiel de  200.000 unités annuelles. Dans sa première co-entreprise avec Dongfeng, à Wuhan, PSA Peugeot Citroën dispose déjà d'une capacité de production de 600.000 véhicules par an, qu'il espère porter à 750.000 en 2015.
Le suédois Volvo (détenu par le chinois Geely) démarre la production en série à Chengdu, avec une production escomptée initialement de 120.000 véhicules par an. L'allemand Mercedes a ouvert dernièrement un site à Pékin, pour  fabriquer 300.000 moteurs annuels et Honda vient de débuter les activités d'un centre de recherche et de développement à Guangzhou. Le tout depuis le début de l'automne ! Et ce, alors même que PSA ferme Aulnay en France, Ford a annoncé l'arrêt de deux sites en Grande-Bretagne et d'un en Belgique, Opel (GM) d'une usine en Allemagne!
PSA reste un "petit" acteur
Vu la taille, tous les constructeurs ont leur part du gâteau. Mais la moitié du marché des voitures particulières et utilitaires légers n'est détenue que par... sept constructeurs étrangers seulement. Le groupe Volkswagen en détient un peu plus de 15% (sur les neuf premiers mois), GM plus de 14%, le coréen Hyundai-Kia presque 8%. Toyota et Nissan sont autour de 4%.
Selon les statistiques chinoises incluant les petits véhicules commerciaux, PSA ne détient en revanche que 2,6% du gâteau. Le groupe tricolore revendique toutefois une pénétration de 3,8% sur le segment des seules voitures particulières.
Les modèles les plus populaires sont le monospace Hongguang de Wuling, une co-entreprise d'utilitaires avec GM, suivi de la berline compacte Buick Excelle (également GM) et de sa rivale Volkswagen Lavida.
Le ministère chinois du Commerce a fait savoir récemment que le gouvernement envisageait d'assouplir la législation, afin de faciliter davantage encore les investissements des constructeurs étrangers. La participation des groupes non chinois dans les co-entreprises est effectivement encore plafonné à 50 %.
Mais la CAAM a fait connaître son opposition. L'Association des constructeurs craint qu'une telle mesure n'affaiblisse encore davantage la position des firmes locales, qui n'ont toujours pas percé. Car, paradoxalement, les constructeurs chinois n'ont tous ensemble qu'une pénétration de 30%  à peine sur le marché. Les client privilégient en effet l'image, la qualité et la réputation technologique des marques étrangères.
Mesures anti-voitures encore timides
Le boom de l'automobile dans l'ex-Empire du milieu semble ne jamais devoir s'arrêter. Les autorités veulent certes freiner (un peu) l'expansion de l'automobile, pour lutter contre la pollution, dramatique dans les grandes villes. La municipalité de la capitale chinoise a ainsi encore réduit son quota d'immatriculations de voitures neuves. Elle ne délivrera désormais que 150.000 plaques d'immatriculation par an, contre 250 000 jusqu'à présent.
Le gouvernement a aussi relevé récemment le prix des carburants. Et les pouvoirs publics comptent rendre également plus strictes les législations concernant l'allocation de voitures aux fonctionnaires. Mais tous les experts n'en restent pas moins largement optimistes sur la poursuite de la croissance. Il devrait donc y avoir de la place pour tout le monde, y compris le dernier venu, Renault.


Source : La Tribune.fr, le 6 déc 2013

dimanche 1 décembre 2013

Synthèse de l'actualité de novembre

Le site "Diploweb.com" de Pierre Verluise propose depuis qques tps une synthèse de l'actualité. Je vous propose donc de découvrir cette chronique d'Axelle GANZ qui enseigne en classe prépa à Blois. A découvrir sans modération car les correcteurs des concours apprécient bcp la capacité à relier processus sur le temps long et actu : http://www.diploweb.com/11-2013-Actualite-internationale.html?utm_source=mailinblue&utm_campaign=NEWSLETTER_2__01122013&utm_medium=email