Thème : l'image satellite au service de la géopolitique. Horaire : 19h30.
http://ddc.arte.tv
ci-dessous revue de presse
Auteur : Serge Boyer, professeur agrégé d'histoire-géographie ; activités : IUFM, auteur de manuels scolaires, d'articles dans la revue "Espace Prépas" ; participat° aux jurys de CAPES, ECRICOME, TBS et GEM ; en CPGE dep 2009. Auteur du manuel de 1ère année sorti en mai 2017 (Studyrama) et réédité en 2021 comme le Dictionnaire Illustré ainsi que de deux manuels de commentaires de cartes (épreuve Ecricome). Chargé de cours à la TSE et de TD à l'Université J.Jaurès.
ONGLET GENERAL
- PROGRESSION
- Tableau DD TR
- DM
- CORRIGE DE DS
- METHODE
- Nouvelle Epreuve GEM
- ECRICOME : analyse de carte
- PUISSANCES
- BIOGRAPHIES
- OCEANS
- CPI
- DEMOCRATIE
- THEORIES AUTEURS
- Les mots du POPULISME
- CROQUIS : conseils et exemples
- DD Singapour
- Asie TR
- Asie DD
- Doc INDE
- Doc CHINE
- Doc JAPON
- AUTOMOBILE
- SCENARIOS
- Mots des VILLES
- RUSSIE
- 100 MOTS CLES du Moy-Orient
- DD Moy-Or-Afr Nd
- TR Moy-Or-Afr Nd
- SCHEMAS
- TR Am latine
- TR Etats-Unis
- DD Etats-Unis
- DD Brésil
- Doc Etats-Unis
- Trame de fond AFR
- France-Afrique
- Doc Afrique
- DD Rwanda
- TR Afrique
- Doc EUR : ex de la POLOGNE et UKRAINE
- L'UE, antiempire ?
- Trame de fond Europe
- Europe DD
vendredi 27 décembre 2013
jeudi 26 décembre 2013
Revue de presse fin décembre 2013
En cette fin d'année, voici qques revues spécialisées qui peuvent être utiles :
Revue Carto n°20 avec un dossier sur la mondialisation et des rubriques par continent.
Atlas Autrement 2014 avec un dossier sur la France.
Atlas du monde de demain. Hors-série du Monde. Il y a aussi un autre HS sur les villes.
Atlas géostratégique 2014 de la revue Diplomatie très riche en stat et cartes.
Revue Carto n°20 avec un dossier sur la mondialisation et des rubriques par continent.
Atlas Autrement 2014 avec un dossier sur la France.
Atlas du monde de demain. Hors-série du Monde. Il y a aussi un autre HS sur les villes.
Atlas géostratégique 2014 de la revue Diplomatie très riche en stat et cartes.
mardi 24 décembre 2013
Si la crise revenait de l'Ecosse ?
Zone euro : et si la crise revenait... par l'Écosse ?
ZONE EURO
Des
militants indépendantistes écossais faisant la promotion du "Yes", le
21 septembre 2013./ Reuters
Romaric Godin | 23/12/2013,
15:10 - 501 motsLe 18 septembre 2014, les
électeurs écossais auront à faire un choix historique : demeurer dans le
Royaume-Uni ou dissoudre l'acte d'Union de 1701 et faire de l'Écosse un pays
indépendant. Mais quelles conséquences pour l'Europe ?
SUR LE MÊME SUJET
L'indépendance
semble peu probable. Chez Ladbrokes, le plus grand bookmaker du monde, le « non
» à l'indépendance est donné à un contre six ! Et dans les derniers sondages,
le rejet d'un État écossais dispose d'une large avance de plus de vingt points.
Mais si les choses évoluaient ?
Dans un
référendum, les dernières semaines de campagne sont parfois déterminantes. La
part des indécis est encore forte, elle est proche de 20 % de l'électorat et,
en 2011, le Scottish National Party (SNP), le seul parti important de l'ancien
royaume à soutenir la cause de l'indépendance, avait glané près de la moitié
des suffrages.
D'autant
que, sur cette terre qui n'a jamais été favorable aux conservateurs, le
discours très dur de David Cameron et la montée du parti eurosceptique et
anti-immigration UKIP ne plaisent guère. Une percée de ce dernier lors des
élections européennes de mai pourrait convaincre une partie de l'électorat
travailliste écossais qu'ils n'ont décidément rien de commun avec les Anglais.
Une Écosse dans l'UE ?
Si l'Écosse
dit oui à son indépendance, des négociations difficiles s'engageraient sur le
partage de la dette et sur le maintien ou non d'une union monétaire. Durant ce
processus, la confiance dans la dette britannique, dans son économie et dans la
livre sera forcément plus faible. La croissance - qui reprend avec plus de
vigueur que sur le continent fin 2013 - pourrait aussi être affaiblie.
Mais le plus
grand défi concernera l'Union européenne. L'Écosse est une terre
pro-européenne. En cas de « oui » le 18 septembre, elle pourrait demander son
adhésion à l'UE en tant qu'ancienne partie d'un État membre.
Un chemin à suivre pour
l'indépendantisme espagnol ?
Comment l'UE
pourrait-elle refuser d'intégrer l'Ecosse alors qu'elle négocie l'adhésion de
la Serbie ? Sauf que, en Europe, les dents grinceraient. En Espagne surtout, où
le gouvernement catalan a promis également de tenir un référendum et pour qui
un « oui » écossais serait un signal fort. Sauf si, évidemment, l'UE se montre
très dure avec l'Écosse... Madrid plaidera la fermeté face à Edimbourg.
D'autant que dans une Espagne en convalescence, la question de la dette est
bien plus délicate qu'au Royaume-Uni.
Logiquement,
un succès de l'indépendance écossaise ferait douter les investisseurs sur
l'Espagne et les taux du royaume ibérique remonteraient. Mais dans ce cas,
inévitablement, tous les taux des pays périphériques seraient sous pression.
Car, si la Catalogne quittait l'Espagne comme l'Écosse le Royaume-Uni, la
question de son maintien dans la zone euro se poserait.
Cet automne 2014 sera crucial pour
le Portugal et la Grèce dont les programmes d'aide viendront à échéance en
juillet. Lisbonne tentera de revenir sur le marché, Athènes de négocier un plan
le plus léger possible. Un regain de tension sur les marchés replongerait ces pays
dans la logique austérité-récession. La crise de l'euro sera alors relancée.
Source : la Tribune.fr, le 24
déc 2013
A LIRE SUR LA
TRIBUNE
·
vendredi 20 décembre 2013
Dessous des cartes sur SINGAPOUR
Le prochain "dessous des cartes", samedi 21 à 19h30, sera consacrée à SINGAPOUR.
Info par mail
Bonjour, ceux qui n'ont pas reçu de mails de ma part, doivent m'envoyer un mail pour avoir toutes les infos pour les vacances.
samedi 14 décembre 2013
INFO MEDIA : ce soir sur Arte, 19H30 "dessous des cartes" sur l'Europe
Thème de l'émission "Union européenne, frontières et migrants". Donc à ne pas manquer ou bien amener lundi un clé usb pour copie.
vendredi 13 décembre 2013
La Chine renforce ses liens avec l'Europe
La Chine renforce sa position en Europe
12 décembre
Une rencontre a eu lieu fin novembre entre le premier ministre chinois, Li Keqiang, et ses homologues de seize pays d’Europe centrale. Selon le rapport du [Center for Eastern Studies], la Chine entend ainsi densifier ses liens avec ces pays. Il s’agit donc de signer des contrats de coopération, et de fluidifier le commerce entre les deux régions.
Le 26 novembre s’est tenu le sommet Chine / Europe Centrale et orientale, auquel ont pris part la Pologne, la République Tchèque, la Slovaquie, la Hongrie, la Lituanie, l’Estonie, la Slovénie, la Croatie, l’Albanie, la Bosnie-Herzégovine, le Monténégro, la Macédoine, la Lettonie, la Roumanie, et la Bulgarie. La Chine a exposé un large panel de solutions permettant de faciliter la coopération. Elle a, entre autres, proposé une facilité de crédit de 10 milliards de dollars aux entreprises de la région, de nombreuses coopérations ont également étés signées, ainsi que des partenariats dans l’éducation et la culture. Les industriels étaient également de la partie, de nombreux contrats ont étés conclus, notamment la modernisation de voies ferrées entre Budapest et Belgrade, la construction d’une centrale hydro-électrique ou encore l’agrandissement d’une centrale nucléaire, les deux en Roumanie.
La Chine, qui commerce à hauteur de 52 milliards de dollars avec la région, souhaite développer ce marché qui ne représente que 10 % du commerce avec l’Europe. Il y a un fort potentiel de développement dans cette région. Certains pays semblent vouloir se positionner comme des partenaires stratégiques de la Chine. L’Empire du milieu a d’ailleurs créé en septembre 2012 le Secrétariat pour la coopération avec l’Europe centrale et orientale.
Cette intensification des contacts politiques pose problème à l’Union européenne et met sa cohésion à l’épreuve. En effet, celle-ci semble mise à l’épreuve par Pékin, si bien que la Commission européenne s’est dite inquiète de la signature de certains accords, qui rendraient difficile son intervention en cas de litige avec la Chine.
Source : Centre for Eastern Studies
Pour voir la source et aller plus loin : http://www.affaires-strategiques.info/spip.php?article9011
lundi 9 décembre 2013
Reprise des cours d'HGG, demain à 14h.
Suite et fin de l'étude de l'Asie centrale avec plusieurs ex (Ouzbékistan, Xinjiang chinois)
Début de l'étude des enjeux maritimes (important car sujet possible).
Début de l'étude des enjeux maritimes (important car sujet possible).
vendredi 6 décembre 2013
Le marché automobile chinois continue son incroyable croissance
Alors que Renault annonce sa future usine, le marché chinois est en plein
boom
Le
Renault Koleos produit en Corée est aujourd'hui exporté vers la Chine
Alain-Gabriel
Verdevoye | 05/12/2013,
17:46 - 819 motsLe premier marché mondial a
encore progressé de 13,5% sur dix mois. Il est dix fois supérieur à celui de la
France. Chaque mois, de nouvelles usines ouvrent !
MÊME SUJET
Bas du formulaire
Après le
feu vert donné par Pékin à Renault, tous les constructeurs mondiaux
seront désormais présents industriellement en Chine, le premier marché
automobile mondial. La co-entreprise du groupe tricolore avec le groupe local Dongfeng - également partenaire de Nissan et de PSA - doit
investir 7,76 milliards de yuans (930 millions d'euros) pour produire 150.000
véhicules par an. Il est vrai que, si l'Europe est en pleine marasme, les
chiffres du marché chinois font rêver.
Un énorme marché, dix fois supérieur à celui de la
France
Les ventes de véhicules neufs y ont
encore augmenté de 20,3 % en octobre et de 13,5 % sur dix mois (par
rapport à la même période de 2012) à 17,8 millions d'unités, selon les chiffres
de la CAAM (Association chinoise des constructeurs automobiles). Sur ce
total, 14,5 millions étaient des voitures particulières.
Le gâteau local se révèle donc dix
fois plus gros que le marché français. Il est même supérieur d'un tiers au
marché de l'Union européenne ! Si les ventes sont en plein boom après un début
d'année moins porteur, la production suit. Les usines automobiles chinoises ont
fabriqué 13,6% de véhicules supplémentaires, sur la période du 1er janvier au
31 octobre 2013, à près de 18 millions d'exemplaires.
Investissements capacitaires à rythme soutenu
Un véritable eldorado, où les
constructeurs investissent dans toujours plus de capacités de production. Le
groupe Volkswagen vient ainsi d'ouvrir en l'espace d'un mois deux nouveaux
sites de production, ajoutant un potentiel complémentaire de 600.000
unités. Il en détient seize désormais. "Nous allons
investir 9,8 milliards d'euros entre 2013 et 2015 en Chine ", annonçait le consortium
allemand en avril dernier, au salon de Shanghai.
PSA a inauguré quant à lui fin septembre le site de Shenzhen
avec un deuxième partenaire (Changan), dédié à sa ligne "DS", d'un potentiel de
200.000 unités annuelles. Dans sa première co-entreprise avec Dongfeng, à
Wuhan, PSA Peugeot Citroën dispose déjà d'une capacité de production de 600.000
véhicules par an, qu'il espère porter à 750.000 en 2015.
Le suédois Volvo (détenu par le
chinois Geely) démarre la production en série à Chengdu, avec une production
escomptée initialement de 120.000 véhicules par an. L'allemand Mercedes a
ouvert dernièrement un site à Pékin, pour fabriquer 300.000 moteurs
annuels et Honda vient de débuter les activités d'un centre de recherche et de
développement à Guangzhou. Le tout depuis le début de l'automne ! Et ce, alors
même que PSA ferme Aulnay en France, Ford a annoncé l'arrêt de deux sites en
Grande-Bretagne et d'un en Belgique, Opel (GM) d'une usine en Allemagne!
PSA reste un "petit" acteur
Vu la taille, tous les constructeurs
ont leur part du gâteau. Mais la moitié du marché des voitures particulières et
utilitaires légers n'est détenue que par... sept constructeurs étrangers
seulement. Le groupe Volkswagen en détient un peu plus de 15% (sur les neuf
premiers mois), GM plus de 14%, le coréen Hyundai-Kia presque 8%. Toyota et
Nissan sont autour de 4%.
Selon les statistiques chinoises
incluant les petits véhicules commerciaux, PSA ne détient en revanche que 2,6% du gâteau. Le groupe
tricolore revendique toutefois une pénétration de 3,8% sur le segment des
seules voitures particulières.
Les modèles les plus populaires sont
le monospace Hongguang de Wuling, une co-entreprise d'utilitaires avec GM,
suivi de la berline compacte Buick Excelle (également GM) et de sa rivale
Volkswagen Lavida.
Le ministère chinois du Commerce a
fait savoir récemment que le gouvernement envisageait d'assouplir la
législation, afin de faciliter davantage encore les investissements des
constructeurs étrangers. La participation des groupes non chinois dans les
co-entreprises est effectivement encore plafonné à 50 %.
Mais la CAAM a fait connaître son
opposition. L'Association des constructeurs craint qu'une telle mesure
n'affaiblisse encore davantage la position des firmes locales, qui n'ont
toujours pas percé. Car, paradoxalement, les constructeurs chinois n'ont tous ensemble
qu'une pénétration de 30% à peine sur le marché. Les client privilégient
en effet l'image, la qualité et la réputation technologique des marques
étrangères.
Mesures anti-voitures encore timides
Le boom de l'automobile dans
l'ex-Empire du milieu semble ne jamais devoir s'arrêter. Les autorités veulent
certes freiner (un peu) l'expansion de l'automobile, pour lutter contre la
pollution, dramatique dans les grandes villes. La municipalité de la
capitale chinoise a ainsi encore réduit son quota d'immatriculations de
voitures neuves. Elle ne délivrera désormais que 150.000 plaques
d'immatriculation par an, contre 250 000 jusqu'à présent.
Le gouvernement a aussi relevé
récemment le prix des carburants. Et les pouvoirs publics comptent rendre
également plus strictes les législations concernant l'allocation de voitures
aux fonctionnaires. Mais tous les experts n'en restent pas moins largement
optimistes sur la poursuite de la croissance. Il devrait donc y avoir de la
place pour tout le monde, y compris le dernier venu, Renault.
Source : La Tribune.fr, le 6 déc 2013
dimanche 1 décembre 2013
Synthèse de l'actualité de novembre
Le site "Diploweb.com" de Pierre Verluise propose depuis qques tps une synthèse de l'actualité. Je vous propose donc de découvrir cette chronique d'Axelle GANZ qui enseigne en classe prépa à Blois. A découvrir sans modération car les correcteurs des concours apprécient bcp la capacité à relier processus sur le temps long et actu : http://www.diploweb.com/11-2013-Actualite-internationale.html?utm_source=mailinblue&utm_campaign=NEWSLETTER_2__01122013&utm_medium=email