Auteur : Serge Boyer, professeur agrégé d'histoire-géographie ; activités : IUFM, auteur de manuels scolaires, d'articles dans la revue "Espace Prépas" ; participat° aux jurys de CAPES, ECRICOME, TBS et GEM ; en CPGE dep 2009. Auteur du manuel de 1ère année sorti en mai 2017 (Studyrama) et réédité en 2021 comme le Dictionnaire Illustré ainsi que de deux manuels de commentaires de cartes (épreuve Ecricome). Chargé de cours à la TSE et de TD à l'Université J.Jaurès.
ONGLET GENERAL
- PROGRESSION
- Tableau DD TR
- DM
- CORRIGE DE DS
- METHODE
- Nouvelle Epreuve GEM
- ECRICOME : analyse de carte
- PUISSANCES
- BIOGRAPHIES
- OCEANS
- CPI
- DEMOCRATIE
- THEORIES AUTEURS
- Les mots du POPULISME
- CROQUIS : conseils et exemples
- DD Singapour
- Asie TR
- Asie DD
- Doc INDE
- Doc CHINE
- Doc JAPON
- AUTOMOBILE
- SCENARIOS
- Mots des VILLES
- RUSSIE
- 100 MOTS CLES du Moy-Orient
- DD Moy-Or-Afr Nd
- TR Moy-Or-Afr Nd
- SCHEMAS
- TR Am latine
- TR Etats-Unis
- DD Etats-Unis
- DD Brésil
- Doc Etats-Unis
- Trame de fond AFR
- France-Afrique
- Doc Afrique
- DD Rwanda
- TR Afrique
- Doc EUR : ex de la POLOGNE et UKRAINE
- L'UE, antiempire ?
- Trame de fond Europe
- Europe DD
lundi 27 novembre 2017
lundi 20 novembre 2017
Le Brésil, pays du multiculturalisme, organise une journée de la conscience noire.
Brésil: une journée de la conscience noire pour pointer les inégalités raciales
Par Martin Bernard
Un membre du collectif anti-racisme ID_BR sensibilise des salariés d'une marque de vêtements aux inégalités raciales au Brésil, le 17 novembre 2017.LEO CORREA / AFP
Ce lundi 20 novembre, le Brésil célèbre le jour de la conscience noire avec de nombreuses manifestations culturelles mais aussi des débats pour changer les mentalités. Car le pays est encore confronté à de fortes inégalités sociales entre populations noires et blanches.
La question noire est très importante au Brésil. Plus de la moitié de la population est d’origine africaine, noire ou métisse. Cela veut dire qu’en dehors du Nigeria, c’est au Brésil que l’on retrouve la plus forte population d’origine africaine au monde.
Mais il y a encore beaucoup de discrimination, à la fois raciale et sociale au Brésil, et depuis près de 15 ans, ce jour est donc férié, pour insister sur l’importance de la contribution de la culture noire au Brésil.
Cette date n’a pas été choisie au hasard : elle marque l’anniversaire de la mort de Zumbi, un résistant noir qui s’est révolté pour tenter de libérer des esclaves dans la région du Nordeste, à la fin du XVIIe siècle. Mais ce ne sera finalement qu’à la fin du XIXe siècle, en 1888, que le Brésil abolira l’esclavage. Ce sera d’ailleurs l’un des derniers pays occidentaux à mettre un terme à l’esclavage.
Des chiffres implacables
La question raciale est toujours d’actualité au Brésil, même si pendant longtemps, les Brésiliens d’origine européenne ont tenté de minimiser le problème. Mais les chiffres sont implacables et révélent qu'il y a encore de grosses disparités au sein de la société brésilienne.
Le niveau de vie des Blancs est par exemple beaucoup plus élevé que celui des Noirs et des métisses. Parmi la frange de 10% de Brésiliens les plus riches, on retrouve 70% de Blancs ; et parmi les 10% les plus pauvres, on retrouve 74% de Noirs, toujours selon des statistiques officielles. Les Noirs sont également surreprésentés parmi les chômeurs au Brésil.
Quant aux chiffres de la violence, ils montrent que les Noirs sont largement plus victimes d’homicides que les Blancs. C’est pour mettre le doigt sur cette réalité qu’est célébrée la journée de la conscience noire.
Des progrès à l'université
Aujourd’hui, beaucoup de personnalités se mobilisent, et même certains magazines plutôt conservateurs consacrent des dossiers entiers à la question.
L’initiative la plus importante a été prise à l’université. Il y a 15 ans, une politique de discrimination positive a été instaurée pour faciliter l’entrée des Noirs et des pauvres à l’université. Une initiative de portée limitée, mais qui commence à porter ses fruits, puisque le nombre de Noirs et de métisses à l’université est passé de moins de 10% à 27% du total des inscrits en une quinzaine d’années.
Source : RFI
vendredi 17 novembre 2017
Panama, nouvel allié chinois ?
Le président panaméen scelle son alliance avec la Chine lors d'une visite d'Etat
Par RFI
Le président chinois Xi Jinping reçoit le président panaméen Juan Carlos Varela à Pékin, le 17 novembre 2017.REUTERS/Jason Lee
Il y a cinq mois tout juste, le Panama décidait de se rapprocher de la Chine tout en acceptant cette condition : il fallait rompre tout contact diplomatique avec Taïwan, que Pékin considère comme partie intégrante de son territoire. Lors d’une première visite d’Etat qui s'est déroulée ce vendredi 17 novembre à Pékin, le président du Panama Juan Carlos Varela compte alors récolter les fruits de cette décision.
Avec notre correspondante à Pékin, Heike Schmidt
Tapis rouge, drapeaux, bains de foule et discours solennels… Pékin a sorti le grand jeu diplomatique pour accueillir son nouvel ami : le Panama. Une belle occasion en effet pour la Chine de marquer un point contre son petit rival Taïwan.
Au total, 19 accords de coopération ont été conclus durant cette visite d'Etat. Les deux pays sont notamment convenus de lancer une étude de faisabilité sur un accord de libre échange. D'autres documents ont été signés en matière d'agriculture, d'aviation civile, de transport maritime et de tourisme, afin notamment de faciliter les visites de groupes de touristes chinois au Panama. « Les relations entre la Chine et le Panama ouvrent une nouvelle page », s'est félicité Xi Jinping lors de sa rencontre avec Juan Carlos Varela, selon l'agence de presse officielle Chine nouvelle.
Venu pour inaugurer l’ambassade flambant neuve du Panama, le ministre des Affaires étrangères Wang Yi a lancé à l’adresse du président Varela : « Votre rêve est devenu réalité ». Un rêve d’ailleurs tout aussi profitable à la Chine qu’au Panama.
L’an passé, le commerce bilatéral s’est élevé à plus de 5 milliards d’euros, « et le potentiel est énorme », souligne l’agence Chine Nouvelle. Chaque année, 1 000 bateaux chinois passent par le canal du Panama, dont la Chine est le deuxième plus important utilisateur, après les Etats-Unis. Et puis, il y a encore cet autre avantage non négligeable : Pékin renforce sa présence politique dans une région dominée jusqu’à présent par les Etats-Unis.
Le seul perdant de ce partenariat gagnant-gagnant est Taïwan. La petite île, qui ne compte plus que 20 alliés, est encore un plus isolée face au géant chinois.
lundi 13 novembre 2017
CONCOURS BLANC
Pour ce premier concours blanc, je vais vous proposer l'organisation suivante :
-Sujet 1 : libellé long et un peu tortueux = type ESSEC = dissertation seule
-Sujets 2 et 3 : libellé plus simple avec 2 manières de le traiter
sujet 2 = Ecricome = dissertation avec commentaire de cartes
sujet 3 = ESCP Europe = dissertation avec croquis (dont les 2 cartes pourront être un support pour faire le croquis)
-Sujet 1 : libellé long et un peu tortueux = type ESSEC = dissertation seule
-Sujets 2 et 3 : libellé plus simple avec 2 manières de le traiter
sujet 2 = Ecricome = dissertation avec commentaire de cartes
sujet 3 = ESCP Europe = dissertation avec croquis (dont les 2 cartes pourront être un support pour faire le croquis)
samedi 11 novembre 2017
Trump accélère le déclin du leadership américain
Les pays de l’Asie-Pacifique trouvent un accord de libre-échange sans les Etats-Unis
Après
l’annonce de sortie du traité commercial par Donald Trump il y a dix
mois, onze pays ont trouvé un cadre pour un nouvel accord de
libre-échange.
Le Monde.fr avec AFP
|
• Mis à jour le
C’était la première décision forte du nouveau président américain Donald Trump. Trois jours après son investiture, en janvier, le milliardaire avait mis fin à la participation des Etats-Unis dans le vaste traité commercial avec des pays riverains du Pacifique (le Partenariat transpacifique, TPP), signé en 2015 sous l’administration Obama. Pour M. Trump, cet accord de libre-échange allait à l’encontre des intérêts des travailleurs américains.
Près de dix mois plus tard, onze pays de la zone Asie-Pacifique (Japon, Canada, Nouvelle-Zélande, Vietnam…) ont trouvé, samedi 11 novembre, un cadre pour un nouvel accord, sans les Etats-Unis. Dans une déclaration commune, ces pays expliquent « s’être mis d’accord sur les éléments essentiels » pour un nouveau traité, après plusieurs jours de négociations, en marge du sommet annuel des pays du forum de l’Asie-Pacifique, à Danang, ville côtière du centre du Vietnam.
Lire aussi :
Au sommet de l’APEC, Donald Trump se montre offensif sur le dossier du commerce international
Dans un tweet publié samedi matin, le ministre du commerce international canadien, François-Philippe Champagne, a déclaré que son gouvernement avait accepté « un cadre pour un nouveau partenariat transpacifique complet et progressiste ». La délégation canadienne a toutefois précisé dans un communiqué qu’« il restait encore un certain nombre de problèmes en suspens ».Les Etats-Unis inquiets pour leur « souveraineté »
De son côté, le ministre du commerce vietnamien, Tran Tuan Anh, a qualifié ces négociations d’« accord fondamental ». Mais sans les Etats-Unis, ce nouveau traité ne représente que 13,5 % de l’économie mondiale. Le ministre de l’économie japonais, Toshimitsu Motegi, a ainsi espéré que cet accord d’étape pourrait déboucher à terme sur un retour du pays dirigé par M. Trump.Avec cet accord, le Japon souhaite notamment contrer la domination croissante de la Chine en Asie. Le gouvernement japonais souhaite notamment éliminer les tarifs douaniers sur les produits industriels et agricoles.
Cette percée pour la création du TPP à onze pays intervient au lendemain du discours du président américain, Donald Trump, qui a martelé que son pays ne signerait plus de « grands accords qui lui lient les mains et l’obligent à renoncer à sa souveraineté ». « Nous ne laisserons plus les Etats-Unis se laisser abuser. Nous ne pouvons plus tolérer ces abus commerciaux chroniques », a-t-il affirmé, se disant en revanche prêt à des accords avec tout pays souhaitant « des échanges équitables ».
« Je mettrai toujours l’Amérique d’abord de la même manière que j’espère que vous tous dans cette pièce donnerez la priorité à vos pays respectifs », a-t-il lancé, reprenant une formule déjà utilisée à la tribune des Nations unies en septembre.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie-mondiale/article/2017/11/11/grands-progres-sur-un-accord-commercial-de-libre-echange-asie-pacifique_5213478_1656941.html#5HC7fsLFRB1GrYHl.99
mercredi 8 novembre 2017
Trump-Xi Jinping
En Chine, Donald Trump tente de constituer un front contre la Corée du Nord Source : RFI
Par RFI
Donald Trump, Xi Jingping et les premières dames, devant la Cité interdite, à Pékin, le 8 novembre 2017.REUTERS/Jonathan Ernst
Le
président américain arrive à Pékin depuis la Corée du Sud, d'où il a
lancé, juste avant de partir, de nouvelles mises en garde à la Corée du
Nord. La Chine est l'une des étapes les plus importantes de sa tournée
de douze jours en Asie.
Avec notre correspondante à Shanghaï, Angélique ForgetDonald Trump a commencé son voyage à Pékin par une visite, en privé, de la Cité interdite, un lieu hautement symbolique de la capitale chinoise. Puis dans la soirée, il dînera avec Xi Jinping en compagnie des deux premières dames. Et demain, il assistera à une cérémonie et à un banquet donnés en son honneur au Palais du Peuple, le cœur du pouvoir chinois.
C’est donc en grande pompe que le président américain sera reçu ici, en Chine, où il doit rester 48h. La presse officielle chinoise soulignait d’ailleurs hier qu’une telle hospitalité était rare en Chine aujourd’hui.
Cependant, il y a entre les deux hommes des sujets sensibles, voire des sujets de désaccord. Et c’est bien pour cela que le protocole est si élaboré, c’est parce que les sujets de tensions ne manquent pas.
Les deux chefs d’Etat vont devoir aborder en autres le dossier nord-coréen. Désireux d'obtenir l'aide de Pékin dans sa croisade contre Kim Jong-un, Trump ne tarit plus d'éloges envers son homologue chinois. « J'attends avec une grande impatience de rencontrer le président Xi, qui vient tout juste de remporter une grande victoire politique », a-t-il tweeté quelques heures avant de rejoindre Pékin, faisant allusion au nouveau mandat de cinq ans que Xi Jinping a obtenu à la tête du Parti communiste chinois (PCC). Selon l'agence Reuters qui cite un conseiller de la Maison Blanche, il entend demander au président chinois Xi Jinping de rompre les liens financiers de la Chine avec Pyongyang.
La balance en faveur de Jinping
Au menu également, le déficit commercial des Etats-Unis avec la Chine. La semaine dernière, Donald Trump a affirmé que ce déficit était astronomique, tellement énorme qu’il était gênant d’en donner le chiffre. On verra donc comment il abordera le sujet avec son homologue chinois.
Les rencontres bilatérales sont prévues demain. Et ce qui est sûr, c’est que Xi Jinping est prêt à très peu de concessions. Ce qu’il veut, c’est une rencontre forte en symboles, mais pas de frictions.
De toute façon, il le sait, il n’a pas besoin de Donald Trump. Depuis leur dernière rencontre en juillet 2017, en marge du G20, Xi Jinping a consolidé encore un peu plus son pouvoir. Il vient d’être nommé à la tête de la Chine pour un nouveau mandat de cinq ans. Et il sait que Donald Trump, lui, est fragilisé par une cote de popularité au plus bas. Xi Jinping est en position de force et va surtout profiter de cette visite pour présenter ses propres ambitions pour la Chine
dimanche 5 novembre 2017
Corrigé du DS2
HGG – DS2 – Corrigé :
Chine et Japon, deux puissances entre tensions
et interdépendance. contexte
PIEGES A EVITER :
-vision trop binaire : échanges éco = interdépenance et tensions seulement géopol
-oublier l'histoire
-négliger la mer et les ZEE
-ne pas faire de prospective = solutions pour calmer les tensions
-oublier l'autre gde puiss mili de la région = Etats-Unis
-ne pas oublier l'Asie du Sud-Est à la fois lieu d'interdép et de concurrence
PIEGES A EVITER :
-vision trop binaire : échanges éco = interdépenance et tensions seulement géopol
-oublier l'histoire
-négliger la mer et les ZEE
-ne pas faire de prospective = solutions pour calmer les tensions
-oublier l'autre gde puiss mili de la région = Etats-Unis
-ne pas oublier l'Asie du Sud-Est à la fois lieu d'interdép et de concurrence
Introduction rédigée :
Le 10 novembre 2014, au sommet de l’APEC (Asie-Pacifique), Xi Jinping,
secrétaire général du PCC et, Shinzo Abe, Premier ministre japonais, se
rencontrent pour une poignée de main censée (après plusieurs années de brouille diplomatique liée aux Senkaku-Diayou)
symbolisée la réconciliation sino-japonaise. Or, la photographie montre deux
hommes politiques peu à l’aise et peu motivés pour ce geste. Respectivement deuxième et troisième puissances mondiales, la Chine
et le Japon ont un lourd passé, vecteur de tensions
multiples. Ayant souvent comme origine des litiges territoriaux, elles forment
la première étape qui amène à un conflit éventuel. Les tensions peuvent aussi
être économiques. Continent multipolaire,
l’Asie regroupe en effet deux Etats en « capacité de faire ; capacité de faire
faire ; capacité d’empêcher de faire ; capacité de refuser de faire »
(Raymond Aron). Premier pays asiatique
industrialisé, le Japon se voit jusqu’en 1945 comme le centre de l’Asie, quitte
à coloniser et à maltraiter Etats et peuples asiatiques dont la Chine. C’est
ainsi que le Japon participe au « siècle de la honte » via des concessions.
Le réveil chinois est plus tardif. Réformée par Deng Xiaoping à partir des
années 1980, l’économie chinoise est devenue
le premier fournisseur du Japon. Mais faut-il réduire l’interdépendance à
l’économie ? Dépendre mutuellement l’un de l’autre peut aussi concerner la
culture, la finance ou la gouvernance internationale. Appartenant au même espace régional (l’Asie de l’est) et
ayant des espaces maritimes communs, de toute évidence, Chine et Japon sont à
la fois interdépendants et sous tensions. La poignée de main Xi-Abe semble
cacher de profonds désaccords au sein d’un continent multipolaire complexe, au
« passé qui ne passe pas » et pourtant en pleine croissance
économique et émergence géopolitique.
Il s’agit donc de savoir si les tensions résultent
simplement d’un passé complexe non résolu ou bien si les échanges croissants de
deux puissances mondialisées et interdépendantes aggravent ou bien limitent les
tensions sino-japonaises. Au fond, le libre-échange qualifié de « doux
commerce » par Montesquieu » peut-il freiner les différends entre deux
grandes puissances asiatiques au lourd passé belliqueux ? Malgré un
espace culturel commun, les tensions sont anciennes et réactivées par la montée
récente de la Chine qui contraste avec la crise japonaise (I), l’interdépendance
lié à une forte mondialisation de ces deux puissances semble tout à la fois apaiser
les tensions sino-japonaises tout en provoquant de nouvelles (II), d’où une
coopération nécessaire et un ordre régional pour l’instant arbitrée par les Etats-Unis,
mais jusqu’à quand ? (III).
IDEES CLES ET PARAGRAPHES PRINCIPAUX ATTENDUS traitement
du sujet
-aire
culturelle commune interdép.
Culturelle
-nationalisme
fort facteurs
de tensions
-Chine
gde puiss asiatique jusqu’au XIXème siècle équilibre
ms déclin = instabilité et tensions
-montée
du Japon de 1868 à 1980 idem
-DIPP
circuit intégré asiatique interdép.
Eco et com
-Asie
du Sud-Est/ASEAN essor
interdép éco (ASEAN +3) ms espace de concurrence éco
-différentiel
techno concurrence
éco
-dep
années 2000 montée accélérée de la Chine facteur
de déséquilibre et de tensions
-hausse
des besoins en ressources intérêt
commun ms concurrence
-maritimisation
et littoralisation avec essor ZF et ZEE tensions
maritimes
-hausse
des budgets mili reflet
des tensions géopol
-pax
americana vecteur
d’équilibre pour Japon/déséquilibre Chine
-pbs
int soc et pol = hausse du nationalisme tensions
car instrumentalisation de la haine du gd voisin
-rôle
régional croissant Chine tensions
et réaction jap
-2030-2050 incertidudes,
monde post-am G2 au détriment du Japon
-vieillissement
jap et aussi chin pb
commun ms peu de lien avec sujet sauf Q du pvr
TYPES DE PLANS POSSIBLES ? avantage risque solution
-
plan proche libellé I/ 2 Puissances II/Tensions III/
interdép
-
plan hist I/ tensions
anciennes II/ Interdép III/ prospective
-plan
thématique I/ cult hist II/ éco pol III géopol
Conclusion
rédigée :
Ainsi, les
relations entre la Chine et le Japon sont à la fois anciennes, fortes et
diversifiées. Cependant, cette interdépendance, synonyme de concurrence,
semble se faire de plus en plus au détriment du Japon qui pourrait faire de moins
en moins le poids face au gigantisme et aux ambitions chinoises. Il faut en
effet comprendre la politique actuelle d’Abe comme défensive face à
l’expansionnisme chinois. Ainsi, le soutien américain est vital (21 dialogues
Abe-Trum en un an !) et la coopération avec l’Inde une solution pour
éviter un déséquilibre croissant. Alors
qu’il y a 40 ans, la prise de contrôle des Senkaku par le Japon n’a impliqué
aucune protestation chinoise, le révisionnisme japonais est désormais moins
accepté par les autorités chinoises. Mais, ne faut-il pas voir dans les
tensions sino-japonaises une autre dépendance ? Face à des problèmes internes sociaux et politiques, les autorités
politiques des deux géants asiatiques ont intérêt à se haïr. Comme
ailleurs, le nationalisme est un instrument politique dans un monde décrit par
Badie de « néo-national ». Pourtant, à l’étroit dans un espace
est-asiatique très peuplé et en essor économique, Chine et Japon ne peuvent que
coopérer. La prudence chinoise vis-à-vis de son seul allié, la Corée du Nord,
montre bien que Xi Jinping ne souhaite pas aller trop loin dans les tensions
afin d’éviter un conflit. Celui-ci est cependant possible si la survie du parti
est en jeu. En ce sens, Graham Allison
pourrait avoir raison. Un conflit éventuel dépend plus de la stabilité de la
Chine ou de l’imprévisible Trump plus que du Japon qui est dans une posture
défensive…
CROQUIS
UNE LEGENDE PERTINENTE DE HELENE
QUELQUES REALISATIONS INTERESSANTES
CROQUIS
QUELQUES REALISATIONS INTERESSANTES
mercredi 1 novembre 2017
L'Inde poursuit son programme ambitieux d'achats d'armes
L'Inde lance la procédure d'achat de 111 hélicoptères militaires
C'est un marché qui en fait rêver plus d'un. L'administration indienne a donné son feu vert formel à la procédure d'achat de plus d'une centaine d'hélicoptères militaires pour sa marine,
un contrat valorisé à 3,2 milliards de dollars, a indiqué mercredi un
responsable. New Delhi - premier importateur d'armes de la planète - est
engagée dans un vaste programme de modernisation de ses forces armées, à
l'arsenal souvent obsolète, pour faire face aux défis géopolitiques et
militaires de l'Asie du XXIe siècle, notamment l'affermissement de la
puissance chinoise.
Le conseil d'acquisition de défense a validé mardi les fonds pour l'achat de 111 hélicoptères utilitaires navals, un marché lorgné notamment par Airbus Helicopters. Cette commande devrait soulager le "manque critique d'hélicoptères" de la flotte indienne, a salué sur Twitter un porte-parole de la marine. Les fonds pour une commande encore plus grosse de 123 hélicoptères multirôles pour l'Indian Navy attendent eux encore d'être approuvés.
Le conseil d'acquisition de défense a validé mardi les fonds pour l'achat de 111 hélicoptères utilitaires navals, un marché lorgné notamment par Airbus Helicopters. Cette commande devrait soulager le "manque critique d'hélicoptères" de la flotte indienne, a salué sur Twitter un porte-parole de la marine. Les fonds pour une commande encore plus grosse de 123 hélicoptères multirôles pour l'Indian Navy attendent eux encore d'être approuvés.
Transferts de technologie
Si les dizaines de milliards d'euros de manne de contrats potentiels font rêver les fabricants d'armes mondiaux, le gouvernement nationaliste hindou assortit cependant ses appels d'offres de conditions strictes pour produire localement. Les postulants doivent désormais s'associer avec un partenaire local, désigné par les autorités, et concéder des transferts de technologies.
Fin publicité dans s
(avec AFP)